L’annonce avait déjà été faite, fin août, mais la Fédération internationale de l’automobile (FIA) l’a entérinée, mardi 20 septembre : le Grand Prix de France ne figurera pas au programme du championnat du monde 2023 de Formule 1. Menacé, le Grand Prix de Monaco est, lui, maintenu, tout comme celui de Belgique, à Spa-Francorchamps, pour lequel une incertitude existait également.
Le Grand Prix de France, organisé ces dernières années sur le circuit du Castellet, dans le Var, était revenu dans le calendrier en 2018, après 10 ans d’absence. Celui de Monaco, intégré au championnat du monde dès sa première édition, en 1950, était remis en cause par les nouveaux propriétaires des droits commerciaux, Liberty Media. Un nouvel accord, portant sur trois éditions, jusqu’en 2025, a été trouvé avec l’Automobile Club de Monaco. L’annonce avait déjà été faite, fin août, mais la Fédération internationale de l’automobile (FIA) l’a entérinée, mardi 20 septembre : le Grand Prix de France ne figurera pas au programme du championnat du monde 2023 de Formule 1. Menacé, le Grand Prix de Monaco est, lui, maintenu, tout comme celui de Belgique, à Spa-Francorchamps, pour lequel une incertitude existait également.
Le Grand Prix de France, organisé ces dernières années sur le circuit du Castellet, dans le Var, était revenu dans le calendrier en 2018, après 10 ans d’absence. Celui de Monaco, intégré au championnat du monde dès sa première édition, en 1950, était remis en cause par les nouveaux propriétaires des droits commerciaux, Liberty Media. Un nouvel accord, portant sur trois éditions, jusqu’en 2025, a été trouvé avec l’Automobile Club de Monaco.